Reaktion auf die frauenfeindlichen Äußerungen der katholischen Kirche zum Thema Abtreibung und Familienplanung Mit Entrüstung und Besorgnis nehmen wir die jüngsten Aussagen des Kardinals von Luxemburg zur Abtreibungsfrage zur Kenntnis. In einem Interview mit dem „Luxemburger Wort“ äußerte sich der Kardinal kritisch zur Position von Kamala Harris zum Recht auf Abtreibung und brachte seine Ablehnung gegenüber dem Recht auf Schwangerschaftsabbrüche zum Ausdruck. Er bezeichnete Abtreibung als „barbarisch” und erklärte, dass er keine Ausnahmen bei Vergewaltigung und Inzest akzeptiere. Dabei lässt er die Frage offen, wie „barbarisch“ es u.a. ist, Frauen, die Opfer von Vergewaltigung und Inzest wurden, jegliches Selbstbestimmungsrecht abzusprechen und sie in eine erzwungene Mutterschaft zu drängen. Die frauenfeindlichen Äußerungen des Kardinals spiegeln die Haltung der katholischen Kirche zu diesem Thema wider und stellen nicht nur einen Angriff auf das Selbstbestimmungsrecht der Frauen dar, sondern ignorieren die komplexen, persönlichen und oft traumatischen Umstände, unter denen Frauen sich für eine Abtreibung entscheiden. Das Recht auf einen Schwangerschaftsabbruch ist in Luxemburg gesetzlich verankert. Dass der Kardinal den Gebrauch dieses Rechts als „falsche Entscheidung” abtut, zeigt eine gravierende Missachtung der individuellen Entscheidungsfreiheit und des menschlichen Leidens, das mit solch schwierigen Situationen einhergeht und unterstreicht noch einmal ausdrücklich, welche Stellung Frauen in der Weltanschauung der katholischen Kirche haben. Auch der Papst hielt sich bei seiner Visite in Luxemburg nicht mit patriarchalischen Äußerungen zurück und forderte die Einwohner*innen Luxemburgs dazu auf, mehr Kinder in die Welt zu setzen. Familienplanung und Sexualität sind und bleiben Privatsache und weder dem Papst noch der katholischen Kirche steht es zu, sich hier einzumischen. Wir fordern von der katholischen Kirche und ihren Vertretern, den Dialog über Abtreibung und Frauenrechte auf der Basis von Respekt, Empathie und Verständnis für die Komplexität der Thematik zu führen, anstatt auf moralische Verurteilungen und dogmatische Positionen zu setzen. Mitgeteilt von CID Fraen an Gender, Femmes en Détresse, Femmes socialistes, déi gréng, déi jonk gréng, déi Lénk, OGBL Equality, Passerelle, Planning Familial und Sweet Joséphine, am 18. September 2024
L’importance cruciale du vote féminin aux élections sociales au Luxembourg Une année électorale en cache une autre, et 2024 s’annonce également comme une grande année électorale pour le Luxembourg : Les élections européennes en juin seront précédées des élections sociales en mars 2024. Les élections sociales, organisées tous les 5 ans, désignent en réalité deux élections. D’une part, au sein des entreprises de plus de 15 salarié.es, les salarié·es élisent leur délégation du personnel. D’autre part, les salarié·es, apprenti·es et retraité·es élisent leurs représentant·es à la Chambre des Salariés (CSL). Les élections sociales à la CSL sont probablement les élections les plus démocratiques du pays, car elles regroupent plus de 600 000 ressortissant.es (résident.es et non-résident.es) qui sont appelé.es à voter par correspondance pour leurs représentant.es qui défendront leur intérêt et leur droit. Voter aux élections sociales est l’un des moyens les plus puissants pour les femmes au Luxembourg de faire entendre leur voix et de contribuer à la construction d’une société plus inclusive. La CSL défend les droits sociaux tels que l’indexation des salaires, les allocations familiales, le salaire social minimum, les indemnités de congés parentaux, les pensions, etc. qui ont un impact financier important sur la condition des femmes salariées que ce soit en matière de lutte contre la précarité, ou encore en ce qui concerne l’égalité entre les genres, notamment dans la répartition des tâches domestiques. En effet, voter aux élections sociales est un moyen de préserver les droits acquis des femmes qui ont été durement gagnés au fil des décennies, mais qui restent vulnérables. Les femmes peuvent par exemple choisir des syndicats qui s’engagent à préserver et à étendre les acquis en matière de droits des femmes, garantissant ainsi une société égalitaire pour les générations futures. De plus, les femmes restent sous-représentées dans les délégations du personnel (de l’ordre d’un quart de femmes et trois-quarts d’hommes) et dans la plupart des comités et de l’Assemblée plénière de la CSL. A l’issue des dernières élections de la CSL, Nora Back a été élue présidente de la CSL. Elle est la première femme à être élue à la tête d’une chambre professionnelle au Luxembourg. C’est pour toutes ces raisons, et bien d’autres encore, que chaque vote féminin a son importance car, les femmes jouent un rôle clé dans la construction d’un monde où l’égalité des sexes est la norme plutôt que l’exception. Pour tout savoir sur le déroulement de ces élections sociales et savoir comment voter rendez-vous sur : www.elsoc.lu
Les discriminations envers les femmes persistent dans le monde du travail Le département des femmes de l’OGBL — OGBL Equality — membre de la plateforme JIF, appelle à participer à la marche féministe du 8 mars 2023 qui débutera à 17 heures sur la Place Hamilius à Luxembourg-ville. L’OGBL Equality tient à rappeler dans ce contexte que l’écart salarial entre hommes et femmes persiste toujours au Luxembourg: en moyenne, les femmes gagnent 7,2% de moins par an que les hommes. Ce chiffre ne reflète toutefois pas toute la réalité, car il se base sur des équivalents temps plein. Or, il faut savoir que les femmes travaillent 6 fois plus souvent à temps partiel que les hommes (36% pour les femmes contre 6% pour les hommes). La principale raison invoquée par les femmes qui recourent à des temps partiels réside dans le fait qu’elles endossent des responsabilités familiales. Les femmes assument en effet encore et toujours le double du travail non-rémunéré dans la sphère privée: cuisiner, faire le ménage, s’occuper des enfants ou d’autres personnes dépendantes, le travail affectif,… Pour lutter contre les discriminations salariales, le moyen le plus efficace demeure la transparence salariale, moyennant des grilles de salaire qui garantissent des évolutions de carrières négociées dans le cadre de conventions collectives de travail. L’OGBL Equality constate par ailleurs que de nombreuses femmes travaillant à temps partiel ne l’ont pas voulu, mais qu’elles subissent cette situation, parce qu’elles évoluent dans des secteurs comme le commerce ou le nettoyage où les contrats à temps pleins sont plus rares. Dans ces secteurs à bas salaires et qui s’avèrent pourtant essentiels au bon fonctionnement de notre société, les femmes sont nettement surreprésentées. Leur travail doit être valorisé et reconnu! Il y a également lieu de souligner que le maintien du système automatique d’indexation des salaires est d’autant plus important pour garantir le maintien du pouvoir d’achat, tout particulièrement dans ces secteurs. Le taux élevé de temps partiels ainsi que les fréquentes interruptions de carrières que l’on observe chez les femmes entraînent également un écart considérable avec les hommes en ce qui concernent les pensions. Cet écart est au Luxembourg le plus élevé de toute l’Union européenne, avec en moyenne 43% de moins pour les femmes. Il faut également souligner que la grande majorité des parents dans les familles monoparentales sont des femmes. Ces familles sont fiscalement désavantagées, car notre système de classes d’impôts est plus avantageux pour les couples mariés. Il est grand temps d’entreprendre une réforme des classes et des barèmes d’impositions afin de réduire, pour les familles concernées, le risque de tomber sous le seuil de pauvreté. L’OGBL Equality revendique une réduction du temps de travail à salaire égal afin de garantir un meilleur équilibre entre temps de travail et temps de vie et permettre ainsi aux familles de mieux répartir le travail non-rémunéré qui repose aujourd’hui encore largement sur les épaules des femmes. La réduction du temps de travail apporterait des bienfaits aussi bien sur le plan familial, social, économique que politique. L’OGBL Equality se montre également solidaire avec les femmes en lutte pour leurs retraites en France. Les femmes seront en effet particulièrement impactées par la réforme des retraites si elle entre en vigueur, car les carrières fractionnées font aujourd’hui déjà reculer l’âge de départ à la retraite de beaucoup de femmes. Enfin, depuis 2022, l’OGBL Equality mène une enquête sur les violences à l’égard des femmes et le sexisme structurel dans le monde du travail. Un premier sondage auprès des membres féminins de l’OGBL a révélé des chiffres sans équivoque: 1 femme sur 2 est victime de sexisme au travail et 2 victimes sur 3 n’en informent pas l’employeur! Évènements à venir Marche Féministe organisée par la plateforme JIF: 8 mars à 17h – Place Hamilius à Luxembourg-Ville Projection du film « Made in Dagenham » en VF: 9 mars à 19h30 – Maison du Peuple à Esch/Alzette Communiqué par l’OGBL Equality, le 3 mars 2023
Rassemblons-nous pour la marche féministe du 8 mars 2023 Rassemblons-nous pour la marche féministe du 08 mars 2023 à l’occasion de la journée internationale de la lutte pour les droits des femmes*[1] ! Convaincu.e.s* par la cause de mener le débat de l’égalité et de la justice sociale au Luxembourg ? Envie de soutenir les revendications de la plateforme JIF et de poursuivre le chemin de l’égalité des genres dans notre société ? Alors marchons ensemble pour une société plus inclusive et juste, le mercredi 08 mars 2023 à partir de 17h00 à la Place Hamilius, à Luxembourg-ville ! Cette marche est le symbole de l’union de toutes les personnes prônant les droits et les obligations citoyens sans faire de distinction au sexe ni au genre ! L’année 2023 est marquée par un contexte de guerre aux portes de l’Europe, les conséquences sociales, économiques et politiques d’une crise sanitaire d’envergure au sein des foyers Luxembourgeois, ainsi que par une crise climatique omniprésente dans le monde entier. Plus que jamais, à l’occasion du 8 mars 2023 – journée internationale de lutte pour les droits des femmes – la plateforme féministe JIF souhaite réitérer la nécessité d’inclure la question du genre et de l’égalité dans l’ensemble des politiques et sujets sociétaux au Luxembourg. Aujourd’hui encore, les mères célibataires sont celles qui endurent majoritairement les charges financières exponentielles, coûts particulièrement importants subis auprès des classes sociales d’avantage défavorisées augmentant ainsi le risque accru de pauvreté. Nous pensons évidemment au personnel du secteur des soins de santé – toute catégorie de métier confondue – dont la pandémie a rendu visible les conditions de travail difficiles. La lutte pour l’égalité et, plus spécifiquement pour les droits des femmes, n’est toujours pas un acquis ! Au contraire ! Le droit à un logement abordable, à une vie sans violence, à des conditions de travail justes et à une répartition équitable du travail professionnel et du travail du care sont encore aujourd’hui des faits essentiels à promouvoir et qui sont liés à la question du genre ! C’est dans ce contexte que la plateforme JIF souligne l’importance de continuer à inclure les questions liées au genre et à l’égalité des genres dans toute discussion politique, économique ou sociale afin de permettre aux instances politiques et acteurs sociaux d’appréhender et de mener des actions concrètes, réalistes et adaptées au sein du territoire luxembourgeois. Dans ce contexte, les revendications phares de la plateforme JIF sont toujours d’actualité, et c’est pourquoi la plateforme JIF revendique d’autant plus : Un toit sur la tête : La JIF revendique le droit fondamental au logement aussi bien dans la loi que dans les faits. Cela implique plusieurs actions dans l’immédiat et à moyen terme, envers des personnes de différentes constellations sociales – par exemple, en augmentant la capacité d’accueil des victimes de violence domestique, des personnes sans-abris voire aux femmes nécessitant des besoins spécifiques ou encore en garantissant un droit au logement abordable et décent au niveau constitutionnel. Une vie sans violence : Malgré la première convention internationalement contraignante signée le 3 juillet 2018[2] qui, grâce à son approche intégrée et multidisciplinaire et à sa perspective de genre, couvre toutes les formes de violence faites aux femmes et filles, des efforts considérables doivent être introduits dans le quotidien luxembourgeois. Parmi les revendications émises par la plateforme JIF, il est primordial de soutenir les acteurs de la société civile dans leur travail de sensibilisation et de prévention contre toutes formes de violence subies par les femmes et les filles. Ouvrir le débat, briser les stéréotypes et donner un espace de parole à toute personne concernée, intéressée et marquée par le sujet de la violence (quel qu’en soit la forme) est indispensable à mener aussi bien par les acteurs de terrain que par les institutions politiques De l’argent pour vivre : Malgré la diminution apparente du gender pay gap au Luxembourg, la réalité démontre que les femmes gagnent encore et toujours moins d’argent que les hommes. Actuellement ce sont majoritairement les femmes qui disposent d’un contrat de travail à temps partiel ou réduit, diminuant ainsi de facto leur pouvoir d’achat, aussi bien en tant que travailleuses qu’en tant que pensionnées. Plus d’égalité dans nos familles : le changement des modèles de parentalité doit permettre à tout parent d’accompagner les premières années de la naissance d’un enfant avec sérénité et stabilité financière. Pour la plateforme JIF, la création d’un congé de naissance de trois mois et la compensation de celui-ci par un salaire complet permettrait à l’ensemble des ménages de garantir un accueil serein et sécurisé à tout enfant. Dans le but de poursuivre ensemble l’action mondiale de lutte pour les droits des femmes, la plateforme féministe JIF fait appel à toute personne de rejoindre la marche féministe au Luxembourg. Le moteur de cette marche féministe se caractérise par la tolérance et le bruit ! Apportez vos casseroles, tambours ou autres instruments musicaux et portez des accessoires mauves permettant à toute personne dans la rue d’entendre nos revendications et notre mouvement à l’occasion de la journée internationale de lutte pour les droits des femmes. Communiqué le 23 février 2023 *La marche féministe est une initiative de la Plateforme féministe JIF. Membres signataires : ASTI, Centre LGBTIQ+ CIGALE, CID | Fraen an Gender, Conseil National des Femmes du Luxembourg CNFL, déi greng, déi jonk gréng, déi Lénk, Femmes en détresse, Femmes socialistes, OGBL Equality, Planning Familial, Sweet Josephine Signataires sympathisant.e.s : Centre for Ecological Learning CELL, Rosa Lëtzebuerg [1] * symbole « * » qui inclut toute personne ne s’identifiant ni au genre féminin ni au genre masculin. [2] En date du 3 juillet 2018, la Chambre des députés a adopté le projet de loi portant approbation de la Convention d’Istanbul du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et des filles et la violence domestique.
La Ministre de l’Égalité balaie le modèle tripartite L’OGBL s’oppose fermement à l’exclusion des partenaires sociaux du nouveau Conseil supérieur à l’Égalité entre les genres qui est censé remplacer le Comité du travail féminin (CTF). Si l’OGBL Equality soutient expressément l’initiative visant un élargissement des compétences et la mise en place d’une instance dynamique en matière d’égalité, il est toutefois contraint de marquer son désaccord concernant la composition de cette nouvelle instance qui balaie le modèle tripartite. En effet, selon le projet de règlement grand-ducal afférent, le nouveau Conseil supérieur à l’Égalité serait composé de 5 membres nommé.e.s par le/la ministre, un.e représentant.e du Conseil national des Femmes et deux représentant.e.s issu.e.s de la société civile, sans précision quant aux organisations qui seraient éligibles pour ces deux postes. Les critères de désignation semblent largement laissés au libre arbitre de la ministre de l’Égalité entre les femmes et les hommes. Par ailleurs, les partenaires sociaux ne sont pas non plus représentés au sein du Comité d’accompagnement de l’Observatoire de l’Égalité entre les genres qui sera également mis en place. Auparavant, le Comité du travail féminin assurait une composition tripartite, conformément au modèle luxembourgeois du dialogue social. Ainsi, quatre places étaient attribuées aux organisations syndicales les plus représentatives sur le plan national. Or, la garantie d’une représentation syndicale s’avère désormais malheureusement absente. Si l’OGBL salue un élargissement du rayon d’action du nouveau Conseil, il est cependant inacceptable d’exclure les syndicats qui sont des acteurs majeurs et indispensables. Une responsabilité particulière doit incomber aux partenaires sociaux afin de permettre que les politiques en matière d’égalité entre sexes et genres soient couronnées de succès et transposées dans la réalité. Les syndicats sont les représentants légitimes des salarié.e.s de tout genre et de toute nationalité et ils défendent leurs intérêts dans le monde du travail ainsi que dans toutes les questions sociales et sociétales au sens large. Ils ont toujours joué un rôle important en faveur de l’égalité entre hommes et femmes. Leur présence doit être garantie par une base légale. Par conséquent, l’OGBL Equality s’oppose catégoriquement à la composition prévue pour le Conseil supérieur à l’Égalité et demande à Madame la ministre de procéder aux changements nécessaires. Communiqué par l’OGBL Equality, le 7 février 2023
J’peux pas, j’ai grève ! Plus de 3000 participant.e.s à la 3e Grève nationale des Femmes* La troisième Grève nationale des Femmes* au Luxembourg a eu lieu le 8 mars 2022 à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes. La Plateforme JIF avait appelé toutes les femmes* à faire grève ce 8 mars contre le travail des soins non rémunéré à domicile, à faire grève au moins symboliquement sur le lieu de travail rémunéré (par exemple avec des pauses prolongées) et à manifester pour l’égalité des sexes. À côté des actions symboliques, comme le fait d’avoir activement décidé de ne pas s’adonner aux tâches ménagères ou d’actions organisées sur les lieux de travail, l’événement principal de la journée a sans aucun doute été la manifestation qui s’est tenue de la Place de la Gare à la Place d’Armes. Avec un temps radieux, plus de 3000 personnes ont rejoint la marche de la manifestation ! Un signe massif de solidarité et d’engagement politique des citoyen.ne.s lors de la deuxième Grève nationale des Femmes* ! L’ambiance était excellente et les règles de sécurité ont été respectées par tout le monde. La manifestation a été menée par une banderole «Feminists Against the War» — une revendication féministe de la première heure — suivi du bloc «Pink Ladies – Queer Women Luxembourg». Sur le chemin, le cortège de protestation est passé devant le ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Economie sociale et solidaire, où le ministre Georges Engel s’est montré solidaire en brandissant un drapeau violet de la JIF par la fenêtre de son cabinet ministériel. Arrivée devant le kiosque de la Place d’Armes, des discours émouvants, dont un discours sur la situation actuelle en Ukraine, ont été tenus par les représentantes de la Plateforme JIF. La troisième Grève des Femmes* au Luxembourg a été un grand succès. Mais il n’y a aucune raison de se reposer. Désormais, le travail autour des revendications politiques ne fait que commencer. Le premier point à l’ordre du jour après la grève sera une entrevue prévue avec le ministre du Travail Georges Engel et la ministre de l’Egalité entre femmes et hommes, Taina Bofferding. De plus amples informations suivront bientôt. Dans ce cadre, la Plateforme JIF profite de l’occasion pour remercier les journalistes et les représentant.e.s de la presse pour la couverture accordée au cours des dernières semaines et surtout le jour même de la Journée Internationale des Femmes. Un grand merci également aux nombreuses organisations comme Greenpeace Luxembourg, Amnesty international Luxembourg, etc. qui ont manifesté leur solidarité avec la JIF dans les médias sociaux ces derniers jours. Communiqué par la Plateforme JIF, le 9 mars 2020 Membres de la Plateforme JIF: ASTI, Centre LGBTIQ+ CIGALE, CID | Fraen an Gender, Conseil National des Femmes du Luxembourg, CSF, déi gréng, déi jonk gréng, déi Lénk, Femmes en détresse, Femmes socialistes, Finkapé – Réseau Afrodescendant Luxembourg, OGBL Equality, Pink Ladies – Queer Women Luxembourg, Planning Familial, Time for Equality et des personnes privées engagées. Grève des Femmes – 8 mars 2022 – OGBL Equality (Lu/Fr) Grève des Femmes – 8 mars 2022 – OGBL Equality ▶ Pour une véritable égalité salariale, pour une véritable réduction du temps de travail, pour une véritable lutte contre la violence faite aux femmes* et la violence de genre, pour un véritable droit au logement pour toustes, pour un meilleur congé de parentalité véritablement égalitaire, manifestons ensemble ! Intervenants: ▶ Ana Correia Da Veiga, Gemengeconseillère Stad Lëtzebuerg ▶ Line Wies, Plattform JIF ▶ Milena Steinmetzer, OGBL Equality/Plattform JIF ▶ Jessica Lopes, Plattform JIF ▶ Yasmine Chlouti & Charles Vincent, Plattform JIF